THEMES PRINCIPAUX DANS L'OEUVRE D'ESCHER
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La structure de l'espace. On peut y
compter les estampes de paysages souvent
présentés avec une pointe de contexte fantastique, mais mettant
toujours en évidence les dimensions de l'espace. Figurent dans cette
catégorie les interpénétrations de mondes différents qui semblent ne rien avoir à faire ensemble, et les figures géométriques spatiales abstraites.
La structure de la surface
du plan. C'est
toute l'oeuvre d'ESCHER sur le remplissage périodique du
plan, qu'on peut diviser, là encore, en trois groupes :
Les métamorphoses,
les boucles,
les approches de l'infini.
La représentation de
l'espace sur une surface plane.
L'imagination de l'artiste explose sur le thème "dessiner,
c'est tricher". ou à la rigueur, c'est transformer et adapter
la réalité à sa représentation plane. Trois
groupes peuvent être distingués:
Le conflit espace-plan,
La perspective,
Les figures impossibles.
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Dans son livre "Le miroir magique de M.C. ESCHER" (éditions TACO), Bruno ERNST présente deux classements des oeuvres d'ESCHER :
L'approche chronologique distingue quatre périodes dans la vie d'ESCHER :
- 1922-1937 : la période des paysages. La plupart sont ceux d'Italie ou de pays méditerranéens. A partir de 1934, Escher réalise quelques portraits et natures mortes, toutes porteuses d'interrogations et de messages.
- 1937-1945 : la période des métamorphoses. Les métamorphoses s'inscrivent souvent dans les recherches d'Escher sur le remplissage périodique du plan, mais aussi dans la réalisation plane de représentations tridimensionnelles. Les boucles font partie de cette période.
- 1946-1956 : la période de la perspective. Escher s'intéresse pendant cette période à la représentation des perspectives classiques, mais aussi à celles représentant un champ de vision le plus large possible. Il aboutit, comme Léonard de Vinci, à la théorie de la perspective courbe dans les trois directions de l'espace (horizon, zénith et nadir).
- 1956-1970 : la période des approches de l'infini. Les approches vers les limites de l'infiniment petit, celles conduisant vers l'infiniment grand ont donné des estampes remarquables. D'après Bruno Ernst, Escher a, de son propre avis, atteint lui aussi ses limites de perspicacité et de possibilités d'expression.
L'approche thématique discerne trois thèmes principaux:
Sur ces thèmes, voici une vidéo que j'ai tirée d'un diaporama sympathique dont je ne retrouve plus l'auteur. Mais comme j'y ai retrouvé, moi, une partie des textes de mon site,
je me suis permis de le reproduire. Si l'auteur du diaporama se reconnaît, qu'il me contacte.
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